Récit intéressant et bien tourné.
c’est vrai, la pression du milieu faisait que les électeurs de Le pen ne l’affichaient pas au grand jour.
Mais la compromission actuelle fait que les tenants de la langue de bois sont montrés du doigt.
Pour vous consoler, dites-vous que contre vents et marées, devant le tsunami orchestré par les médias et toute la classe politique, votre capitaine a tenu bon sur la frégate contre la tempête, améliorant son nombre de voix (4800 000 au 1er tour, 5 500 000 au 2eme). Et que ceux qui se sont déshonorés le plus, sont ceux qui traitaient Chirac de fasciste au 1er tour et votaient pour lui au 2eme.
Consolez-vous aussi en vous disant que Le Pen , c’était l’infame, qui lorsqu’il passait dans les médias, faisait un record d’audience ( tout comme Marchais des années auparavant).
Votre capitaine est ( fut) un homme politique hors pair, qui avait des convictions, parlait vrai ( slogan : ce qui disait Le Pen, les français le pensaient tout bas) et avait de la culture. oui, il était (et est) plaisant à entendre. Fallait l’ecouter et voir comment en toréador talentueux, il affrontait les journalistes agressifs ….
Bref une époque ..que votre récit nous évoque